3 jours à Bankgok : choc!

Le temps passe vite et il est de découvrir un petit bout d'Asie dans un pays hyper touristique, la Thailande.

Une fois de plus, entre deux destinations c'est un choc; thermique : c'est la fin de la saison des pluies, il fait ultra chaud. Culturel : on passe des grandes étendues vides que nous avons tant aimées à Bangkok, où on se bouscule sur les trottoirs pour marcher. Et un bon coup de décalage horaire dans les dents.

Première surprise : malgré les hordes de touristes qui envahissent la Thailande (et dont nous faisons partie), les taxis ne parlent pas ou quelques mots d'anglais. Et après 15h de vol, tu sais que le taxi veut t'arnaquer mais que faire quand il fait semblant de ne pas comprendre...Ca change forcément des honesties box de Nouvelle-Zélande.



Ces 3 premiers jours à Bangkok sont un peu compliqués; j'ai envie de faire plein de choses mais c'était sans compter sur la fatigue de la famille d'une part, et les funérailles du roi d'autre part. En effet même si celui ci est décédé il y a un an, son incinération est prévue pour le 26 Octobre et la ville est en train de se fermer progressivement. Il faut laisser Bangkok aux Thais nous dit-on. J'ai bien aimé cette expression. Les Thais aiment profondément ce roi et toute la ville lui rend hommage, parée de fleurs jaunes et de tissu blanc et noir.

Nous visitons quand même un temple, tout en perdant un litre d'eau par demi heure : Wat Trai Mit : le temple du bouddha d'or.



Heureusement notre hôtel situé dans le quartier de Siam ( Twin Towers hotel 36 euros la nuit pour 4)  a une piscine et les filles en profitent à fond.



Nous arpentons une partie de Chinatown, les centres commerciaux de MBK (c'est à faire surtout quand les orages éclatent) et le parc de Lumpini. 



Tout cela en 3 jours. Nous avons peu de photos. Bangkok est une ville vraiment particulière. Je suis la seule à avoir apprécier.




Les Thais nourrissent les poissons chats du fleuve : c'est une bonne action!



Mais je comprends aussi pourquoi. Le touriste est clairement une source de revenus. Nous ne sommes pas de grands négociateurs et c'est assez difficile pour nous. Au final nous avons résolu le problème de bonne foi des taxis en utilisant Uber. Les chauffeurs ne parlent pas mieux anglais mais c'est plus simple et cela exclut toute négociation. Nous l'utilisons aussi parce que nous n'avons aucun frais de paiement sur notre carte bancaire quand nous payons en bath. Sinon c'est vrai que le service peut devenir onéreux. En l'occurence il est plus rentable pour nous que les taxis.

Bangkok ne nous a pas avalés mais il n'a conquis qu'un quart de la famille.


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